Fichu, c’est fichu — Wanda Gág
Le livre du jazz — Langston Hughes
Ton-chan le glouton — Shigeru Hatsuyama
Le livre des erreurs — Gianni Rodari
Le cheval de feu — Vladimir Maïakovski
Le lait des rêves — Leonora Carrington
Harriet et la Terre promise — Jacob Lawrence
Les contes du paradis — Kurt Schwitters, Kate Steintiz
Le point et la ligne — Norton Juster
Le Nénuphar blanc — Stéphane Mallarmé
Mineros — Loïc Venance
Paul Trajman ou la main qui pense — Bernard Noël, Paul Trajman

L’Ymagier « publie des images et des études sur les images et les imagiers anciens et nouveaux ». Alfred Jarry et Remy de Gourmont, souffleurs du nom de cette collection, le disent si bien : « pourquoi un y a ce mot, quand les dictionnaires disent imagier [...] raison décorative : ce titre dessiné en vieilles lettres hispaniques voulait un y, en symétrie avec le g [...] pourquoi n’y aurait-il pas encore, aujourd’hui comme jadis, un peu de liberté dans l’orthographe, pour un peu plus de beauté ? Lys décore mieux que lis. On a écrit en dépit de l’étymologie : hydeus pour hideus (hispidosum) : “Laides gens et hydeuses” (Joinville) ; on a écrit : hystoire, aymer, cymetière, sydère, Ysabel, enyvrer, Yglise, etc. »