1/10/2012
Sophie Ehrsam, « C’était la grâce qui balbutiait des mots décousus », La Quinzaine littéraire, octobre 2012
La Quinzaine littéraire
Ce recueil est un bel hommage à Amelia Rosselli et un remarquable travail de traduction dont il est à souhaiter qu’il permette à cette poétesse italienne d’être mieux connue en France. Une œuvre incandescente mais cadencée, riche d’influences multiples, qui interpelle.
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