25/07/2020

Brigitte Duzan, « S’ouvrent les portes de la ville : souvenirs de Pékin, par le poète Bei Dao », chinese-shortstories.com, 25 juillet 2020.

chinese-shortstories.com

Les portes de Pékin, la ville de son enfance, s’étaient refermées sur Bei Dao (北岛) en 1989. Lors des événements de la place Tian’anmen, il se trouvait à un colloque littéraire à Berlin. Il avait affiché une position de plus en plus critique à l’égard du gouvernement chinois, jusqu’à ce que, en (…)

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15/07/2020

Youness Bousenna, « S’ouvrent les portes de la ville de Bei Dao », Télérama, 15 juillet 2020.

Télérama

De retour d’exil, le poète exhume avec finesse le Pékin perdu de son enfance, qui vibrait au chant des coqs et tremblait sous le maoïsme.

Malheureux qui, conune Bei Dao, a dû faire un long voyage. Treize années durant, l’écrivain et poète a vagabondé (…)

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4/07/2020

Claire Devarrieux, « Chine : “Une génération sacrifiée”, entretien avec la traductrice Chantal Chen-Andro », Libération, 4 juillet 2020.

Libération

Entretien avec la traductrice Chantal Chen-Andro : Traductrice, notamment du prix Nobel Mo Yan, spécialiste de la littérature chinoise, Chantal Chen-Andro a traduit en français tous les livres de Bei Dao.

Pourquoi (…)

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4/07/2020

Claire Devarrieux, « La formule Ypsilon, explorations d’une éditrice », Libération, 4 juillet 2020.

Libération

Il était déjà question des éditions Ypsilon dans ces pages la semaine dernière, avec la réédition de Moi, le Suprême de Roa Bastos. Romanciers, poètes, le catalogue de la maison est impressionnant : James Baldwin et Toni Cade Bambara, Natalia Ginzburg, Pasolini et Sandro Penna, (…)

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1/07/2020

Laurent Perez, « 19 Manières de regarder Wang Wei d’Eliot Weinberger », artpress, juillet-août 2020.

Art press

« La poésie est ce qui mérite d’être traduit », annonce l’écrivain et traducteur américain Eliot Weinberger au seuil de 19 Manières de regarder Wang Wei. L’intérêt de ce brillant petit ouvrage de 1986, pour la première fois traduit en français, d’une lecture fluide et (…)

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1/07/2020

Claire Devarrieux, « Enfant de Pékin, Bei Dao “rebâtit” sa ville », Libération, 4 juillet 2020.

Libération

Un enfant joue à cache-cache dans les rochers, aime passionnément les billes, aide son père dans le potager, fait un long voyage avec sa mère pour aller voir son grand-père. Mais nous ne sommes pas chez Marcel Pagnol. Nous sommes dans un récit de Bei Dao, et l’histoire passe sur le corps de (…)

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1/07/2020

Bertrand Mialaret, « Une nouvelle œuvre en prose du poète Bei Dao qui veut reconstruire son Pékin », mychinesebooks.com, 7 juillet 2020

Mychinesebooks.com

Bei Dao est avec Yang Lian et Duo Duo, l’un des poètes chinois de la génération de Tiananmen les plus connus en Occident. Ses œuvres en prose ont souffert de la célébrité d’une poésie souvent citée comme candidate pour un prix Nobel.

Deux recueils d’essais, traduits en anglais, un beau (…)

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26/06/2020

Philippe Lançon, « Le tyran qui lisait Candide », Libération, 26 juin 2020.

Libération

En 1967, il n’y a pas que les guerres du Vietnam et des Six Jours, de Gaulle, les Beatles et les Rolling Stones. Il y a aussi le chaudron politique et littéraire latino-américain. Cette année-là, le Péruvien Mario Vargas Llosa (ou le Mexicain Carlos Fuentes, selon une autre version) propose à (…)

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18/06/2020

Lise Wajeman, « Douceurs et douleurs : Bei Dao se souvient de son enfance à Pékin », Mediapart, 18 juin 2020

Mediapart

Les opposants au régime chinois entonnent depuis près de cinquante ans un de ses poèmes en signe de révolte. Avec S’ouvrent les portes de la ville, l’écrivain Bei Dao revient sur son enfance dans le Pékin de la Révolution culturelle.

« Je te le dis, (…)

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10/06/2020

Youness Bousenna, « Moi, le Suprême d’Augusto Roa Bastos », Télérama, 10 juin 2020.

Télérama

Dans un monologue imaginaire, le despote fondateur du Paraguay conjure par l’écriture l’horreur de sa condition humaine. L’œuvre maîtresse de Roa Bastos, enfin rééditée.

Écrire la vie d’un dictateur est un projet littéraire périlleux. Trop près, on loupe le despote ; (…)

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9/06/2020

Youness Bousenna,« Trois raisons de (re)lire “Moi, le Suprême”, la fresque historique du Paraguayen Augusto Roa Bastos », Télérama, 9 juin 2020.

Télérama

Grande figure de la littérature sud-américaine, l’écrivain a dépeint la vie du dictateur et fondateur du Paraguay José Gaspar de Francia dans le magistral “Moi, le Suprême”. Paru en 1974, cet époustouflant récit est aujourd’hui réédité par les éditions Ypsilon.

Paru (…)

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5/06/2020

Camille Loivier, « (Notes de lecture) Eliot Weinberger, 19 manières de regarder Wang Wei »,Poezibao, 5 juin 2020.

Poezibao

C’est un livre remarquable que les éditions Ypsilon nous offrent, une fois de plus ; je voudrais le relire cent cinquante fois. Rien ne m’a plus enthousiasmée que de lire dix-neuf fois le même poème sans pourtant avoir l’impression d’en avoir fait le tour, mais au contraire, de chaque fois le (…)

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1/06/2020

Christine Plantec, « Les belles apatrides », Le matricule des anges, juin 2020.

Le matricule des anges

Une réflexion vertigineuse sur ce que traduire veut dire, par Eliot Weinberger.

Soit un quatrain écrit il y a 1200 ans par Wang Wei (700- 761), poète et peintre de la prestigieuse dynastie Tang. Soit en 1987, la publication de 19 traductions du quatrain chinois à des époques et dans des (…)

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27/05/2020

Youness Boussenna, « 19 manières de regarder Wang Wei d’Eliot Weinberger », Télérama, 27 mai 2020.

Télérama

« Traduire, c’est trahir », selon l’adage. Et celui-ci est bien cruel, car comment rendre un poème écrit en chinois classique au VIIIe siècle, sous la dynastie Tang ? Si les quatre vers du poème de Wang Wei, auteur bouddhiste qui était également peintre, parlent de choses (…)

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5/04/2020

Ludovic Lamant, « Dans le “trou noir du pouvoir absolu” d’un caudillo paraguayen », Mediapart, 5 avril 2020.

Mediapart

Augusto Roa Bastos a tressé le monologue d’un héros de l’indépendance du Paraguay, devenu dictateur « suprême et perpétuel » de 1814 à 1840. Texte majeur en Amérique latine, Moi, le Suprême, publié en 1974, ressort en France.

Dans la littérature latino-américaine, Moi, le (…)

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1/04/2020

Valérie Nigdélian, « Révolutionnaires en jupons », Le Matricule des anges, avril 2021

Le matricule des anges

Entre archive et création, le récit de Maria Attanasio voyage aux pays des chemises noires, des drapeaux rouges et des luttes féminines.

« Moi dans les luttes j’étais comme une flamme. » Ainsi parle Concetta La Ferla, fille d’une « famille communiste (…)

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10/03/2020

Paul Aymé, « Une certitude dans le présent inhabité »

En commençant Concetta & ses femmes, on est comme l’enfant qui a soudainement le droit de rester à la table des grands. Plus tard, ce passage : « sur le moment j’étais contente, mais j’étais encore plus contente quand je pouvais rester les écouter parler du parti qui devait naître, (…)

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6/03/2020

Adrien de la librairie Ombres blanches, « Le voyage d’un poème »

Librairie Ombres blanches

Grâce à un poème de Wang Wei, un peintre et poète chinois ayant vécu sous la dynastie Tang, Eliot Weinberger offre une réflexion stimulante et belle sur la poésie et la traduction. Partant du texte chinois, en idéogrammes, puis de sa transcription phonétique et de sa traduction littérale, mot à (…)

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17/02/2020

Matthieu Gosztola, « (Note de lecture) Le cheval de feu, de Vladimir Maïakovski », Poezibao, 17 février 2020

Poezibao

À la fin du Sacrifice de Tarkovski, « Petit Garçon » arrose un arbre mort : « Au commencement était le verbe. Pourquoi papa ? » Au commencement de ce film, le dernier du cinéaste russe, le père nourrit « Petit Garçon » avec l’eau sédimentaire du « Il était une fois » : « Il était une (…)

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1/02/2020

Pascale Joncour, « Le cheval de feu de Vladimir Maïakovski », La Revue des livres pour enfants, février 2020

La Revue des livres pour enfants

Vladimir Maïakovski (1893-1930), poète et dramaturge futuriste soviétique, auteur de textes pour enfants ? En fait, le poète a écrit neuf livres pour les enfants entre 1925 et 1929. Le Cheval de feu a été publié à Moscou en 1928, illustré par Lidia Popova (1903-1951), jeune artiste (…)

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